Sujet commun n°1 - Comme un ouragan

Comme un ouragan...

Tour 1

La météo l'avait annoncé. Tout le monde a été prévenu de cette terrible tempête qui allait bientôt arriver en ville. Mais les prévisions des météorologues ne sont pas toujours juste et des erreurs peuvent parfois couter très cher. Les vents étaient effectivement violents, les arbres se balançaient dans tous les sens, la pluie frappait durement le sol et marcher pour aller quelque part était une véritable lutte contre le vent soufflant avec force. Il devait être à peine 17h45 quand la sirène se mit à résonner en ville. Ce bruit si aiguë et effrayant que tout le monde redoute. La tempête Zena était bien là, mais ce n'était pas qu'une simple tempête, une tornade était en train de se créer à des kilomètres de là. Celle-ci semble se diriger droit sur la ville de Story City, balayant tout sur son passage. Elle serait également en train de grossir... le monstre arrive... et il n'y a plus d'échappatoire. Des voitures de police traversent la ville, haut parleur activé pour prévenir les gens de l'arrivée de leur cauchemar. "Une tornade arrive sur la ville, vous devez vous mettre dans des abris sous terrain. Vous pouvez vous diriger à la mairie si vous n'en avez pas..." La panique était bel et bien là, beaucoup veulent fuir, mais les embouteillages se forme avec leur concert de klaxon. Quitter la ville n'est pas possible...

Règles :
-Un tour dure une semaine. Vous avez jusqu'à dimanche pour poster 1 fois dans le sujet.
-Une réponse par tour
-Le MJ interviendra à la fin du tour pour faire avancer le sujet.
-Il n'y a pas d'ordre de poste
-Ne faite pas de poste trop long pour le sujet avance à vitesse raisonnable.
-Si vous avez des questions, je suis dispo par MP ou dans le sujet d'inscription !

Les participants
-Juliette Swan
-Ron Stoppable
-Ran
-Nick Wilde
-Sally Bollywood
-Kyo Sohma
-Hiyori Iki
- Anastasia N. Romanov

Comme un ouragan

Je marchais lentement dans les rues de la ville, raffermissant ma prise sur le col de ma veste. Je n'avais pas choisis la meilleure des tenues, semble-t-il, pour la journée. Il faisait froid alors que le vent soufflait de plus en plus fort. Une fois encore, je recherchais mes compagnons, ses amis qui m'étaient si chers et qui avaient si rapidement quitté mes côtés. Je gardais espoir, avais demandé de l'aide auprès des autorités. Seulement, je ne savais pas si je pouvais les reconnaître, si je pouvais les percevoir à nouveau. J'avais donc prévu d'errer à leur recherche jusqu'à ce qu'une voiture de patrouille passe à mes côtés pour lancer l'alerte. Une tempête. Mon coeur se serra. Je ne pouvais pas m'empêcher d'associer de simple effet météorologique à un rassemblement d'ayakashi à présent. Ma vision avait changé pour tellement de choses. Prenant une profonde inspiration, je m'élançais rapidement en direction de la mairie pour trouver un abri et éviter de m'envoler dieu sait où alors que le vent s'intensifiait. Je frappais à la grande porte avant d'entrée. Etais-je la seule à avoir choisis cette solution ?

(c) naehra.

HRS:

Comme un ouragan

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Le temps empirait, Ran était dehors à ce moment là, elle avait fait un peu de sport en pratiquant sa discipline. Elle avait beau être ceinture noire de karaté, elle continuait à apprendre, elle s'était mise à courir. La jeune femme avait intérêt à vite rentrer chez elle, c'est alors qu'elle entendit des alarmes. Alors là c'était mauvais signe, elle le savait, elle écouta ce que disait cette voix qui s'éleva dans les airs. Le problème c'est qu'elle était assez loin de son appartement, mais en plus, elle n'avait pas d'abri sous terrain, qui en aurait ? Elle se dirigea rapidement vers la mairie et elle entra, elle n'était pas seule et elle ne tarda pas apercevoir une jeune femme qu'elle connaissait bien. D’où elle la connaissait ? C'était une élève qu'elle trouvait sympathique, elle vint la voir. « Je suis contente de voir quelqu'un que je connais, comment tu vas ? » Ran était inquiète si ça se trouve certains de ses amis se trouvaient dehors alors que c'était dangereux, elle espérait que ce n'était pas le cas. « Je crois qu'on risque de passer la nuit ici. » Vu comment c'était parti, elle n'était pas prête de rentrer chez elle. En espérant que quand elle rentrerait son appartement n'aurait pas trop souffert, elle ne tenait pas à se retrouver à la rue.

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Juliette avait entendu parler de cette tempête, la météo l’avait annoncé et sur le moment elle ne l’avait pas cru une seule seconde, pour elle ce n’était pas grand-chose. Parfois la météo passait à côté de leur prévision mais aujourd’hui le temps avait beaucoup changé, en premier lieu ce vent si terrible qu’un simple parapluie ouvert pourrait vous faire vous envoler très loin. La jeune femme devait aller faire des courses aujourd’hui, elle n’avait plus rien du tout dans le frigo mais d’après ce qu’elle entendait, la police leur conseillait de se mettre à l’abri, surtout dans un endroit souterrain ou éventuellement à la mairie. N’ayant pas de cave assez robuste, Juliette se décida à aller à la mairie. Elle prit un manteau et se couvrit la gorge comme elle le pouvait, tout ce vent, c’était horrible. Ce n’était sans doute pas la peine de prendre la voiture, les autres habitants auraient eu la même idée qu’elle et elle tomberait dans les bouchons. Non. Elle irait tout bonnement à pieds, notre jolie blondinette irait beaucoup plus vite, de plus la mairie n’était pas si loin que ça et elle pouvait l’atteindre assez rapidement.

La jeune femme se mit donc en route et lorsqu’elle arriva enfin à la mairie, elle entra très vite pour éviter ce vent glacial de la fouetter au visage encore une fois. Elle se toucha les cheveux, sachant bien qu’elle devait être décoiffée, prenant un élastique dans ses cheveux, elle l’entortilla autour de ses cheveux. Au moins elle était sûr et certaine d’être tranquille en attendant de pouvoir rentrer chez elle, espérant que sa maison ne s’envole pas comme dans l’histoire du magicien d’Oz. La vétérinaire fit un rapide coup d’œil de la pièce et aperçu une jeune femme qu’elle connaissait, Ran Mouri, sa professeur de Karaté qui parlait avec une autre jeune fille. La jeune blondinette était contente de voir Ran en sûreté même si elle se faisait quand même un véritable sang d’encre pour tous les autres qu’elle connaissait. Et elle espérait qu’ici ça suffise à protéger tout le monde aussi.

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Comme un ouragan

Il avait horreur de la pluie, chaque fois qu'il pleuvait, il ne se sentait pas si bien, ça lui rappelait de mauvais souvenirs. Il n'avait qu'une hâte, c'était de rentrer chez lui, mais malheureusement le temps en avait décidé autrement, ce n'était pas que de la pluie, c'était une tempête. Il avait essayé de s'abriter quelque part, mais rester dehors n'était pas une bonne idée, il n'avait pas envie de se prendre quelque chose sur la tête comme une branche. Il fallait continuer à avancer, même s'il avait eu une voiture, il n'aurait peut être pas continuer, il n'aurait rien vu sur la route, déjà qu'en étant à pied, il ne voyait pas grand chose. C'est là qu'il entendit une alarme, ainsi qu'une phrase, pas le choix, il devait suivre. Le jeune homme se dépêcha d'entrer dans la mairie, il y avait des gens, il reconnu certains visages, comme deux jeunes femmes qui étaient déjà venu au poste, le monde était tout petit. Peut être qu'à force de vivre dans cette ville, il finirait par connaître tout le monde, ce n'est pas qu'il cherchait forcément à se faire des amis, mais ce ne serait pas une mauvaise chose. Il n'était pas bien avec ce temps, c'était l'une de ses faiblesses.

AVENGEDINCHAINS

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Comme un ouragan

Il aurait pu regarder la météo, mais non ça ne l'intéressait pas, résultat, il n'était même pas au courant de la tempête qui allait arriver. Du coup, quand il est sorti du boulot, il a été surpris, il avait voulu prendre sa voiture, pas de chance, elle refusait de démarrer, mais quelle poisse, pas le choix, il devait rentrer à pied. C'est pas qu'il avait peur du mauvais temps, mais en voyant des choses s'envoler et des branches tomber, il restait méfiant. Il n'était pas complètement idiot, il espérait que Kim était à l'abri, il n'arrivait pas à la joindre, c'était à cause de cette fichue tempête. Il devait se convaincre qu'elle était plus maligne que lui et qu'elle avait du trouver un abri, il avait confiance en elle. Quand à lui, il était en mauvaise posture, heureusement, il y a eu cette voix qui avait une bonne idée, entrer dans la mairie, c'était la solution pour le moment. Ne cherchant pas à frapper, il entra et il n'était pas seul, il aperçu Juliette, il l'avait déjà rencontrer, il alla la voir. « Vous aussi, vous êtes venu vous abritez aussi. » Il n'était pas rassuré, car il ne savait toujours pas ou était sa petite amie.

AVENGEDINCHAINS

Comme un ouragan...

Tour 2

Tout doucement, mais surement, les gens commençaient à affluer en direction de la mairie. Personne n'est préparée pour une tornade à Story City et le seul abri reste celui de la mairie. Ça risque de faire du monde, quoi que certaines personne sont absentes, surement ont t'elles pris la fuite loin d'ici ou se cache t-elles chez elle en craignant les pillards. Le grand espace devient de plus en plus rempli. Des employés de la mairie comme des agents de police circule entre les gens, leur indiquant de s'asseoir sur le sol ou sur les quelques chaises qui trainent. L'attente va être longue, autant se mettre à l'aise. Malgré le sous terrain, la porte encore ouverte permet d'entendre le vent souffler à vive allure à l'extérieur, des bruits de verres brisés et quelques cris. Des branches ont sans doute fracassés les fenêtres et fait peur aux gens n'étant pas encore dans l'abri. "Messieurs, Dames, pas de panique, vous êtes en sécurité ici, vous ne risquez rien. Une fois la tornade passée, vous pourrez sortir. D'après nos informations, la tornade n'est qu'à quelques kilomètres de la ville." A peine ses mots furent dit que le courant se coupa. "Le générateur va prendre le relais !" indiqua clairement le policier, mais ceci n'arriva pas, le générateur n'avait pas l'air de vouloir se mettre en route. La panique semblait gagner l'assemblée, les enfants se mettant à pleurer, les claustrophobes commençait à paniquer... Il va falloir faire quelque chose !

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Comme un ouragan

Je pousse les grandes portes de la mairie, me faufile dans le refuge indiquer par les autorités. Je ne suis pas la seule à avoir choisi cette idée, semble-t-il. Je passe lentement une main dans ma chevelure non-seulement mouillée, mais également en bataille. La tempête n'est pas petite, bien au contraire. Elle me rappelle celle de Kofuku, la déesse armée de son éventail. Un soupire m'échappe et je trouve un endroit calme dans un coin au fond de la pièce, debout contre le mur. Lentement, un sourire se glisse sur mes lèvres alors que j'aperçois un premier visage familier. Ran. ❝ de même. Je vais bien, un peu mouillé, mais bien. et toi ? ❞ J'acquiesce faiblement lorsqu'elle souligne que tout cela n'est pas prêt de finir. Comme elle, je doute qu'une tempête d'une telle ampleur cesse de sitôt. Mon regard se perd dans la foule, croisant plusieurs visages familiers, mais pas ceux que je cherche. Est-ce qu'ils vont bien ? Ont-ils trouvé un refuge ? Je me fige lorsque le courant saute. Un agent tente de rassurer l'assemblée, mais le manque de lumière n'arrange pas. Naturellement, je sors mon portable et active l'application lampe de poche. Une faible lueur s'en échappe. C'est peut-être peut, mais d'autres ont sans doute déjà eu la même idée.

(c) naehra.

Juliette ne savait pas exactement ce qu’elle allait devoir faire ici, c’est vrai qu’il ne faisait pas de grosses activités dans ce genre de situation et tout le monde devait attendre sagement que tout soit terminé pour rentrer chez eux. La jeune femme pensait à tous les habitants, se demandant s’ils avaient pu trouver refuge ici, ou dans un autre endroit qui pourrait bien les protéger. Elle allait tenter d’aller voir certaines personnes de sa connaissance pour prendre des nouvelles quand de nouvelles personnes finirent par rentrer dans la mairie, deux jeunes hommes. La jeune blondinette reconnu de suite le policier qui était venu la dernière fois chez elle, un homme patient et sympathique et elle reconnut aussitôt Ron, ce brave garçon se dirigeait droit vers elle et elle posa son regard dans le sien. « Oui, vu la tempête qu’il y a je me suis dit que ce serait sympa d’écouter les consignes. Vous avez l’air inquiet ? Quelqu’un manque-t-il à l'appel? D’ailleurs avez-vous retrouvé votre chat ? » La dernière fois qu’elle l’avait vu il le recherchait mais d’après ce qu’elle avait compris les recherches n’avaient pas l’air de donner grand-chose et avec cette tempête elle espérait que tout aille bien pour ce pauvre chat.

Lorsqu’un agent leur conseilla de s’assoir, Juliette ne se le fit pas prier, autant éviter de se fatiguer inutilement et s’assoir convenablement puisque la tempête avait l’air d’avoir élu domicile pour un petit moment. On leur disait de ne pas paniquer, de rester calme, un peu difficile dans ce genre de condition. Juliette n’avait pas réellement peur, elle était seulement inquiète pour tous ces pauvres gens… elle entendait les cris et les fracas, elle aurait voulu aidé mais c’était un coup à signer son arrêt de mort. D’un seul coup, le courant fut coupé et malgré cela, le générateur ne se remettait pas en route. « Mince… » Elle sorti son téléphone et au même moment qu’elle essayait de trouver son application lampe de poche, une jeune femme vint allumer le sien, ce qui éclairait déjà un peu mieux la pièce. « Ca ne risque pas d’être suffisant j’en ai bien peur si la tempête perdure… » Les batteries se vident vite en général, il faudrait remettre le courant au plus vite.

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Comme un ouragan

Ron avait engagé la conversation avec Juliette et apparemment, elle avait remarqué qu'il s'inquiétait. « Je n'arrive pas à joindre ma petite amie, je sais qu'elle saura se débrouiller, mais ça me rassure pas. Je ne l'ai toujours pas retrouvé, il n'est peut être pas dans cette ville.» Voila maintenant qu'il fallait aller s’asseoir, puis il y eu cette panne de courant et le générateur ne fonctionnait pas. Cela empirait, il fallait qu'il reste calme, ici, il était à l'abri. Il ne pouvait s'empêcher aux personnes dehors, il espérait que chacun trouvait un refuse. Peut être que la tornade ne serait pas si violente que ça ? N'importe quoi, bien sûr qu'une tornade c'est terrible, qu'elle soit petite ou grosse. Le jeune homme n'a jamais vécu ce genre de situations et pourtant il en avait vu des choses. « Quand on va rentrer je ne sais pas dans quel état on va retrouver nos habitations. J'espère juste que Kim et les autres sont à l'abri. » C'est qu'il y tenait à sa petite rouquine, il ne voulait pas la perdre. Il sorti une barre chocolaté et croqua dedans, il en proposa une à Juliette, c'était un moyen de se détendre.

AVENGEDINCHAINS

Comme un ouragan

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« Je pourrais aller mieux, mais j'avoue que j'ai peur. » Elle n'allait pas le nier, elle avait beau être courageuse certains choses lui fichaient la trouille. La jeune femme aperçu Juliette qu'elle connaissait grâce au cours qu'elle donnait, celle ci était entrain de discuter avec un homme qu'elle ne connaissait pas. Enfin elle avait juste du l'apercevoir par le passé. Puis soudain plus de lumière, sans s'en rendre compte, Ran s'était accroché à Hyori, en effet se retrouver dans le noir ne la rassurait pas du tout. Normalement un générateur aurait du démarré, mais non comme par hasard, ça ne fonctionnait pas. Elle fit comme son amie et alluma une lampe grâce à son téléphone, la technologie c'était bien pratique, mais sa batterie risquait de ne pas tenir longtemps. De toute façon pour le moment elle ne cherchait à joindre personne, puis avec ce temps, son téléphone jouait des siennes. « J'espère que ça va bientôt se terminer, on devrait peut être aller aider les gens encore déhors. » Elle était prête, elle ne voulait pas que des gens perdent la vie, malheureusement, on ne les laisserait pas sortir dehors. Normale sachant que la tornade n'était pas loin.

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Comme un ouragan × Sujet commun

Anastasia venait de finir sa journée à la bibliothèque, elle se dirigea comme ses collègues vers la sortie du bâtiment. Passer sa journée entourée de bouquins elle adorait ! Mais elle n'avait pas entendue l'annonce concernant cette fichue tornade. Oui il faisait mauvais et maussade, et oui il commençait à pleuvoir mais la jeune femme mettait tout ça sur le compte du changement de saison précoce. La demoiselle avait déjà hâte de revoir le soleil briller et les températures remonter ! Elle passa en coup de vent à la supérette du coin, non loin de son lieu de travail. Elle n'avait pas eu le temps de faire les courses du coup elle se contenterait d'un plat préparé pour la soirée. Une soirée entre elle et sa télévision ... Du moins s'il y avait quelque chose ce soir-là. Aux alentours les gens étaient pressés de rentrer, quoi de plus normal après tout par un temps pareil. Mais elle vit quelques personnes se diriger rapidement, trop rapidement vers la Mairie qui normalement devait être fermée à cette heure-ci. C'est pleine de curiosité qu'elle se dirigea vers le bâtiment. C'est là qu'elle croisa la plupart des habitants de la ville rassemblé dans une même pièce. Elle ne comprenait pas ce qu'il se passait. Ce n'est que lorsqu'elle entendit une conversation entre deux femmes qu'elle apprit qu'une tornade arrivait droit sur eux et que la Mairie avait mit à disposition le bâtiment pour les personnes n'ayant pas d'abris sous terrain. Une chance qu'elle ait été aussi curieuse sinon elle aurait finie emportée par la tornade. Parce qu'on ne peut pas dire qu'elle habitait dans l'un des immeubles les plus solides de la ville. Enfin, elle espérait toujours retrouver son appartement en état après que la tornade soit passée ... Soudain les lumières s'éteignirent en un coup et la demoiselle commença à paniquer. Elle ne supportait pas le noir complet, c'était l'une de ses phobies, en comptant la peur de ces p'tites bêtes à huit pattes. L'un des policiers présent dans la salle tenta de rassurer les habitants en expliquant que le générateur de secours devait prendre le relais ... Mais ce n'était pas encore le cas. La jeune femme entendit des pleurs d'enfants et d'autres personnes paniquer. Elle espérait que le courant serait bientôt rétablit. La rouquine vit des gens dans la salle allumer leurs portables afin d'avoir une once de lumière, et elle se dit que ce n'était pas une mauvaise idée et qu'elle aurait du y penser plus tôt. Anastasia attrapa son portable dans la poche de sa veste et activa son application lampe torche. Son sac de course toujours en main, elle décida de se porter près d'un des murs de la pièce afin de ne pas rester en plein milieu de la foule et ne pas être dans les pieds des gens.

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Comme un ouragan...

Tour 3

Le générateur n'avait pas encore prit le relais, l'obscurité subsistait dans l'abri sous terrain de la mairie. Les enfants commençaient à crier et pleurer, entre le noir, plus le bruit de la tempête qu'on pouvait entendre il n'était pas rassuré. Parmi les adultes, on pouvait sentir la nervosité de certain. Dans la foule, plusieurs commençaient à perdre leur calme, surement des claustrophobes, tant que la lumière était allumée, il pouvait supporter cet endroit, mais maintenant c'était difficile. Les faibles lumières des téléphones portables parvenaient à en rassurer certain, mais ce n'était pas suffisant, du moins pas encore. "J'ai besoin de quelques volontaires pour venir avec moi voir ce qu'il se passe avec le générateur de secoure !" indiqua l'un des agents de police. Deux personnes suivirent l'agent pour s'enfoncer dans un couloir qui devait mener au générateur. Un tuyau était cassé à l'intérieur de la pièce, c'était surement à cause de la tempête qui fait rage dehors. L'eau recouvrait uniquement une partie du sol, en soit rien de bien grave. L'agent aidé des deux volontaires firent leur possible pour remettre en marche le générateur. Mais l'eau + l'électricité ne fait pas bon ménage. Le trio fut électrocutés et un début d'incendie démarra dans la salle du générateur de secoure. Dans la pièce principale, les gens avaient entendu les cris et un bruit étrange. Que se passe t-il ? Et surtout, la lumière n'est toujours pas de retour ? Il serait peut-être bon d'aller voir ? Ou peut-être pas ! Quoi qu'il en soit, bientôt l'odeur de la fumée se fera sentir.

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Comme un ouragan

❝ j'espère aussi que ça va rapidement passer. Ce n'est pas une ambiance vraiment festive...❞ Soufflais-je en voyant quelques portables s'allumer dans la foule, imitant mon geste. Au moins, cela nous permettrait d'y voir un minimum durant quelques temps. Ce n'était pas une solution éternelle, mais cela dépannait. ❝ je ne sais pas si nous apporterions d'une grande aide aux autorités... ❞ Répondis-je finalement à Ran alors qu'un petit groupe alla vérifier les disjoncteurs et la batterie de secours. La foule regorgeait de personne terrifier, s'entassant pour un peu de réconfort. Je me doutais qu'autrefois, ce lieu aurait fourmillé d'ayakashi. C'était une évidence vue l'état de la majorité. ❝ il y a une drôle d'odeur, non ? ❞ Murmurais-je faiblement à l'égard de mon aînée, quelque peu confuse.

(c) naehra.

Juliette ne s’inquiétait pas plus que ça au niveau de la tempête, elle savait bien que ce genre de chose pouvait arriver, que la nature pouvait parfois faire des surprises inattendus mais qu’avec de l’organisation on pouvait assurer la sécurité de tous, comme maintenant. Si les gens s’étaient réfugier de leur côté dans des endroits solides, il n’y aurait aucun souci. Juliette connaissait beaucoup de monde mais la seule personne de proche qui n’était pas présente en cet instant était suffisamment intelligente pour se cacher. Alice était maladroite mais pas bête. « Je vous comprends mais je suis sûr qu’elle va bien, elle doit penser la même chose de vous. Quand à votre animal, je suis sûr que vous finirez par le retrouver, si ce n’est pas vous, ce sera lui qui viendra à vous, ils ont un sixième sens hors du commun lorsqu’il s’agit de retrouver leur propriétaire. » Enfin, quand tout va bien et qu’il n’y a pas eu de magie la dessous, mais Juliette ne se souvenait de rien de son passé, alors pour elle c’était facile de dire ça.

Une fois assise avec Ron, elle regardait autour d’elle, avec la faible lueur des téléphones portables, le générateur de secours ne reprenant pas le relai, elle vit du coin de l’œil, les policiers se parlaient entre eux et elle posa son regard sur le jeune homme. « Je sens qu’un brin de ménage sera surement à déclarer. » La jeune femme espérait la même chose venant de son inconnu, elle ne connaissait pas son nom mais s’inquiétait aussi pour lui. Un agent demanda de l’aide et allait donc voir le générateur, Juliette n’aimait pas vraiment ça mais restait patiente, acceptant même ce que lui tendait Ron. « Merci, même en cas de coup dur vous avez tout ce qu’il faut dîtes moi. » Un bruit suivit de cris attira ensuite son attention et elle tourna la tête. Les trois personnes étaient parti par ce couloir… avaient-ils eu un souci ? Elle ne saurait le dire mais les cris qui en étaient sorti ne paraissaient pas bons du tout. « Vous avez entendu Ron ? » La jeune femme était vétérinaire, pas docteur mais si les personnes étaient blessés, elle pouvait peut être faire quelque chose. « On devrait surement aller voir ce qu’il se passe. » Elle ne pouvait pas rester sans rien faire et se leva afin d’aller voir un policier pour aller jeter un oeil, elle voulait aider et se sentir utile, elle sentait par ailleurs une odeur plutôt suspecte...

« Tu as raison et je n'aime pas ça. » Qu'est ce que c'était que cette odeur, et puis elle avait entendu ce bruit. C'était quand même inquiétant, ça rappelait de mauvais souvenirs. Elle se souvenait de criminels qui faisaient sauter des choses, une fois elle s'est retrouvé bloqué dans un bâtiment et avait failli mourir, heureusement que son meilleur ami avait été là pour la guider. « C'est bizarre, les personnes qui sont allés voir pour le générateur ne sont toujours pas de retour. On devrait peut être aller voir. » Après tout ces gens pouvaient être blessé et s'ils ne faisaient rien, ça pouvait s'aggraver. La jeune femme n'aimait pas se diriger dans le noir, mais il fallait faire quelque chose, ne rien faire n'était pas une bonne idée. Elle n'était pas du genre à attendre que ça passe, de toute façon, elle n'avait rien à craindre, c'est pas comme si un fantôme hantait les lieux. « Tu viens avec moi ? Sinon j'y vais seule. » Elle ne voulait pas obliger son amie à l'accompagner, dans le pire des cas, elle irait voir ce qui se passe toute seule.

Le générateur qui ne marchait pas, la panique qui commençait, ça n'allait pas être une bonne journée. Il ne fit pas comme les autres, il ne prit pas son téléphone pour une lampe torche, il valait mieux garder de la batterie au cas ou. Le jeune homme avait une assez bonne vue, presque aussi bien que celle d'un chat. Cela n'avait rien de magique, c'était juste une qualité qu'il avait. Au final, il se dirigea vers une rousse (Anastasia) qu'il ne connaissait pas, mais il en avait marre de rester seul dans son coin. « Tu devrais garder ton téléphone pour une chose plus utile, après tout avec tous les téléphones allumé, c'est déjà bien éclairé. » Il ne se gênait pas, ce n'était pas une vieille, il n'allait pas la vouvoyer. En tout cas il s'était montré aimable, de base c'était pas un méchant, mais parfois un peu trop direct dans ses paroles. « Je n'ai pas besoin de lampe, mes yeux s'habituent à l'obscurité. » D'un côté pourquoi ça intéresserait la jeune femme, puis il s'en fichait. Par contre ce qui se passait pas très loin d'eux c'était inquiétait, ce bruit, cette odeur, il se demandait si quelqu'un allait agir. Inutile de prendre des risques inutiles, tant qu'il ne savait pas comme la situation évoluerait.

« C'est sûr Rufus est très doué vous savez, ils nous as détaché une fois quand on était prisonnier. » Il racontait ça comme ça, après tout dans son monde, il avait beau être agent, ce n'était pas forcément un secret, même si lui c'était juste le coéquipier de la super Kim Possible. « Le ménage c'est pas mon truc. » Il le faisait s'il le fallait, mais il n'aimait pas spécialement ça, d'ailleurs qui aimait ça ? « Dans ce genre de situation, on a besoin de manger. » Enfin c'était sa manière à lui de raisonner, ça lui faisait du bien. Il était tellement occupé à manger sa barre chocolaté qu'il ne faisait plus attention à ce qu'il se passait. « Désolé, je n'ai rien entendu. » Il pouvait facilement perdre sa concentration ce qui n'était pas un avantage. « Vous avez peut être raison, mais ça pourrait être dangereux. Ce n'est pas que j'ai peur, mais on est peut être pas les mieux placés pour y aller. » Puis il n'avait aucun gadget sur lui, quoique de base quand il en avait et trouvait toujours le moyen de ne pas savoir s'en servir. Par contre cette odeur, ce n'était pas terrible et ce n'était pas quelqu'un qui faisait un barbecue.

Je suis désolé ! J'étais persuadé d'avoir posté la semaine dernière ><

Comme un ouragan...

Tour 4

Les cris n'avaient pas échappé à plusieurs personnes. En même temps, c'était étrange d'entendre les policiers crier, il n'y a pas de raison à ça, à moins qu'ils ne s'amusent à se faire peur, mais la situation n'est pas vraiment faite pour ça. En plus de ça, cette odeur de brulé commençait à se faire sentir, n'indiquant rien de bon. Des courageux décidèrent d'aller voir pour être sûr que tout va bien. Ils vont se trouver face à un départ d'incendie ! Au fur et à mesure qu'ils vont s'enfoncer dans le couloir, la fumée va devenir plus épaisse, la chaleur va augmenter et la lueur dansante des flammes va les attirer. Ils ne pourront pas tenir longtemps dans cette fournaise. Un choix s'offrira à eux : tenter de sauver les policiers peut-être morts, ou les laissa là et partir au risque de les laisser mourir brulé ou asphyxié. Quoi qu'il arrive ce feu est embêtant... Il pourrait bien empêcher les gens de rester à l'abri le temps de la tempête...

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Comme un ouragan

La confusion grandissait en moi. Que pouvait donc être cette odeur plus qu'étrange. J'avais développé un assez bon odorat depuis que j'étais devenue une demi-ayakashi, mais entendre que cela n'échappait pas à d'autres me rassuraient en un sens. Ce n'était pas mon imagination. Un bon point. Enfin, si on veut. Mon regard dérivait lentement vers le couloir que les policiers et les volontaires précédent avaient emprunté pour vérifier les générateurs. Ran n'avait pas tort. C'était tout de même étrange qu'ils ne soient pas encore parvenus aux générateurs… Passant une main dans mes cheveux, je regardais la batterie qu'il me restait et acquiesçais vigoureusement. ❝ je viens, c'est peut-être préférable❞ répondis-je finalement en me plaçant aux côtés de Ran. Aider ces personnes étaient le plus important ici. Je ne fus pas surprise de constater que peu de personnes avaient suivis de mouvement. La plupart devait être terrifié. Prenant une profonde inspiration, je me glissais dans les couloirs et me figeais en voyant la fumée qui annonçait le feu. ❝ l'odeur devient clair maintenant.❞ murmurais-je plus pour moi-même. Le danger était de tailles, mais je ne savais pas si je me pardonnerais de partir sans tenter d'aider les personnes encore là-bas. Cela ne serait pas la première fois que je braverais le danger. Certes, sans Yato et Yukine ce n'étaient plus pareils, mais je ne pouvais pas changer pour autant. ❝ on devrait aller les aider… c'est pour ça que nous sommes venues ici, non ? ❞ Lançais-je en attachant mon mouchoir sur mon visage pour éviter la fumée avant de lancer un dernier regard à Ran, prête à y aller seule si nécessaire..

(c) naehra.

Sujet: Re: Sujet commun n°1 - Comme un ouragan

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